Je suis tombé sur un rapport attrayant l’autre jour. Certaines administrations de protection spécifiques ont leur propre flotte d’avions de combat, au cas où l’armée entrerait en rébellion. C’est vraiment assez surprenant. Et c’est le cas de la Defense Intellect Company, qui sera le principal cueilleur et producteur de connaissances militaires aux États-Unis. Il a été créé le 1er octobre 1961, par voie du secrétaire américain à la protection, pour se comporter depuis le principal superviseur de l’intellect de cette division de la sauvegarde et pour répondre aux besoins intellectuels du secrétaire à la protection, les Joint Chiefs of Personnel, producteurs de couverture, et planificateurs de pression. Le directeur de la DIA est sans aucun doute le principal conseiller de l’assistant de sauvegarde et du président des chefs d’état-major des articulations sur les préoccupations liées à la connaissance des services militaires. Après la Seconde Guerre mondiale, les initiatives américaines visant à rassembler, générer et diffuser des connaissances militaires étaient dispersées et non coordonnées. Trois des secteurs de l’armée – l’armée, la marine et la pression atmosphérique – ont maintenu leurs demandes intellectuelles de manière indépendante. Ce type de structure organisationnelle s’est soldé par des doubles emplois, des dépenses inutiles et une inefficacité, simplement parce que chaque partie des services professionnels armés a fourni ses propres rapports de connaissances au secrétaire de la sauvegarde ou à d’autres organismes gouvernementaux. Par conséquent, en 1958, le Congrès a adopté la loi sur la réorganisation de la sauvegarde, qui visait à s’approprier les problèmes individuels. Pourtant, malgré les directives, les responsabilités en matière de connaissances n’étaient pas claires et la coordination de l’intellect était également difficile. Pres. Dwight D. Eisenhower, reconnaissant la nécessité de systématiser les opérations de savoir, a désigné un groupe d’étude conjoint en 1960 pour découvrir de bonnes façons d’organiser les actions des services militaires et intellectuels du pays. La détonation d’une bombe atomique par la Chine (16 octobre 1964) et aussi le début de leur révolution ethnique (1966), l’agitation croissante en Afrique et les combats en Malaisie, à Chypre et au Cachemire dans les années 1960 ont sérieusement poussé le temps de l’intellect américain tout entier communauté. Plus tard au cours de ces 10 années, la bataille de 6 jours dans le centre-est, l’offensive du Têt au Vietnam, l’intrusion soviétique de la Tchécoslovaquie et la saisie de la Corée du Nord dans le navire de la marine USS Pueblo exercent une pression sur You.S. les organisations de renseignement pour anticiper et réagir aux activités en cours sur la planète. Au milieu des années 1970, lors du verdict de la guerre du Vietnam, la DIA avait joué un rôle actif dans les efforts des États-Unis pour tenir compte des participants aux services américains manquant ou saisis dans le conflit. Récemment, la DIA ainsi que d’autres sociétés intellectuelles, comme la Main Intelligence Company (CIA), ont été critiquées pour avoir négligé de s’attendre à septembre. 11, 2001, des attaques terroristes, puis pour avoir soutenu les affirmations publiques ouvertes de l’administration George W. Bush avant la bataille en Irak (2003-11) selon lesquelles l’Iraq avait ou essayait régulièrement de construire des outils de dévastation massive.
Les commentaires sont clôturés.